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Maillon indispensable du processus démocratique, notre parti semble pourtant oublier son essence même pour montrer le spectacle de dirigeants qui, à l’approche de scrutins cruciaux pour notre pays, cèdent trop facilement à la jalousie pour se livrer à d’interminables conflits d’ego. Au plan local, la Fédération des Républicains de Côte-d’Or n’échappe pas à ce triste constat, que je fais depuis plusieurs années, ses actuels « responsables » déniant ouvertement à mon sens l’intérêt général, l’entente cordiale et l’apaisement pour mettre uniquement leurs forces au service de leurs ambitions personnelles. Je crois en la confrontation des idées, parce qu’elle est salutaire et même indispensable pour progresser dans la maîtrise des problèmes auxquels les Français sont confrontés aujourd’hui, après trois ans et demi de gouvernement socialiste. Or nos compatriotes, atterrés par l’état de délabrement de notre pays, attendent de nous de nouvelles perspectives et un nouvel élan, incarnés par notre parti. Un changement qui ne sera pas seulement un slogan électoraliste et vain mais un profond renouvellement des hommes et des idées. Le 31 janvier prochain, ce désir de changement peut devenir une réalité : c’est ce jour-là en effet que les fédérations départementales des Républicains vont renouveler leurs instances dirigeantes. Ce sera l’occasion, pour tous les militants appelés à élire leurs nouveaux dirigeants, de prendre leurs responsabilités. La France a besoin de gens entreprenants, capables de voir haut et loin, et la Côte-d’Or doit apporter sa pierre à cet édifice. Le député Rémi Delatte, Maire de Saint-Apollinaire, un ami avec qui je partage les valeurs de respect, de dévouement, de courage et de fidélité aux idées du Général de Gaulle, est à mon sens le seul capable de mener cette mission. J’ai toute confiance en lui et en son expérience pour constituer cette nouvelle équipe qui saura tirer la Fédération de Côte-d’Or de sa torpeur et de ses penchants manichéens qui nuisent au grand rassemblement que nous attendons tous, celui dont la France a besoin. Alain HOUPERT |
L’article 4 alinéa 2 de notre Constitution prévoit que les partis politiques contribuent à la mise en œuvre de “l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales”.